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Gravity One, une nouvelle source d’énergie renouvelable, continue et non polluante ?

 

Vous avez été nombreux à vous intéresser au moteur M3 de Monsieur Jean-Claude Cordier, dont nous attendons tous des nouvelles avec impatience, aussi je viens partager ici avec vous cette communication extraordinaire venant d’un autre chercheur, Monsieur Pascal Boyer de Genève.

…Vous allez voir, c’est fascinant !

 

 

J’ai donc reçu le texte suivant de Monsieur Pascal Boyer. Voici ce qu’il souhaite néanmoins préciser en préambule afin d’aller au devant de tout jugement hâtif sur « l’impossibilité » de ses travaux:

« Notre but actuel est de prouver que nos dires sont fondés par la présentation d’une expérience de physique simple à comprendre. »

Voici donc ladite présentation:

« Nous vous adressons ce document pour vous informer des travaux menés depuis 2005 par l’équipe franco-suisse de « Gravity One » sur la captation et la transformation de la force gravitationnelle en énergie électrique. Nous souhaitons que sa lecture vous donne envie de faire partie de l’équipe.

Le but de l’invention est de permettre la production d’énergie par des générateurs qui ne seront plus alimentés par des énergies fossiles, mais par la gravité ambiante, sans générer de pollution.

Avant d’entrer dans le vif du sujet voici quelques précisions destinées à éviter l’amalgame entre le mouvement perpétuel, tel qu’il est « imprimé » dans nos cerveaux « formatés » et la nature des expériences menées par Gravity-One. Nos milliers d’expériences de physique pure fondent la légitimité de nos travaux et prouvent la capacité technique de l’équipe de Gravity-One à présenter des prototypes construits autour de notre théorie dont le principe repose sur la capacité à dissocier physiquement une réaction de l’action dont elle est la conséquence.

«Les leçons de l’expérience valent mieux que les préceptes de tous les maîtres»  (Cicéron)

 

Théorie simplifiée de Gravity-One

 

Pour adhérer à la théorie de Gravity One sur la transformation d’une force naturelle constante, la gravité, en énergie mécanique ou électrique continue, il faut commencer par la lecture du premier principe physique par lequel nos détracteurs condamnent ce qu’ils assimilent de façon «simpliste» au mouvement perpétuel, à savoir:

La loi de conservation de l’énergie.

Définition:
«La conservation de l’énergie est un principe physique selon lequel l’énergie totale d’un système isolé est invariante au cours du temps»

«On nomme principe physique, une loi physique apparente qu’aucune expérience n’a invalidé jusque là, bien qu’elle n’ait pas été démontrée et joue un rôle voisin de celui d’un postulat en mathématique.»

Cette mise au point est donc nécessaire pour comprendre les travaux de Gravity One et se donner le droit de penser librement, ce qui est indispensable dans ce type de recherche. Les textes qui régissent la loi de conservation de l’énergie reposent sur «un principe physique». Pour empêcher le rejet dogmatique de nos travaux, nous demandons au lecteur d’admettre que ce «principe physique» pourrait être remis en question par une expérience de physique pure, prouvant notre capacité à capter la gravité subie par des masses exploitées en circuit fermé.

En effet, toutes les lois de physique reposent sur des postulats qui valent, tant qu’ils n’ont pas été invalidés par une expérience. La liberté de Gravity One est de faire ces expériences en ouvrant un nouvel axe de recherche pour le développement d’une nouvelle énergie renouvelable, continue et décarbonée.

 

Projet Gravity-One

 

L’objectif de l’équipe Gravity One est de présenter un moteur autonome. Il fonctionnera sous la seule influence de la force gravitationnelle «ambiante» subie par des masses et des liquides recyclés en circuit fermé, suivant le principe de l’invention, utilisant des transferts de charges capables de produire plus d’énergie qu’ils n’en consomment. (CQFD)

Depuis des siècles l’homme produit de l’énergie par captation de la gravité grâce à des barrages ou des moulins à eau. La gravité, subie par une masse d’eau, est captée pour fournir une énergie renouvelable dont la puissance est proportionnelle à la hauteur de la chute d’eau. Le soleil recharge le système par évaporation de cette eau, redistribuée par les nuages, comme un mouvement perpétuel.

Les choses se compliquent intellectuellement lorsqu’on parle de capter la force gravitationnelle subie par des masses exploitées en circuit fermé. En effet, Gravity One entend prouver qu’il existe une autre interprétation de ce qu’est un circuit fermé.

La première approche de notre équipe a été d’essayer de libérer des masses de la gravité qu’elles subissent, en y opposant des forces contraires, telles que la répulsion magnétique, la force centrifuge, la poussée d’Archimède.

 

 

C’est le principe de l’avion zéro G. L’avion produit une parabole qui place les astronautes en apesanteur. A ce moment leur poids apparent est voisin de zéro et si vous vouliez les déplacer du bas, vers le haut, vous le feriez du bout des doigts.

Sur les 65 prototypes construits par Gravity One, bon nombre l’ont été autour de ce principe. L’idée étant de déplacer des masses pendant qu’elles pèsent « zéro » pour ensuite utiliser la gravité qui s’applique à ces masses durant d’autres cycles de fonctionnement du dispositif. Un 66ème prototype est en préparation. Il repose sur une rupture d’équilibre générée entre deux masses placées en opposition. Cette rupture d’équilibre est rendue possible par une action consommatrice d’énergie. L’énergie consommée, «action», est constante. Elle est fonction du déséquilibre souhaité. L’énergie produite, «réaction», est variable. Elle est fonction de la course des masses.

On peut donc augmenter, à volonté, l’énergie produite en allongeant la course des masses qui produisent un travail pendant leur chute. L’augmentation de l’énergie produite, «réaction», n’impacte pas la consommation d’énergie, «action». Ce travail est capté et transformé en énergie mécanique ou électrique pour alimenter la machine, le delta étant disponible pour servir l’activité humaine.

 

65 prototypes…

 

Nous avons construit de nombreux prototypes basés sur l’opposition entre la gravité et la poussée d’Archimède, (250 av – J.C). Le 66ème prototype de Gravity One utilise aussi ce principe.

 

 

En 20 ans, Gravity One a construit 65 prototypes permettant de faire évoluer notre théorie sur les transferts de charges, capables de produire plus d’énergie qu’ils n’en consomment. (CQFD).

Après toutes ces expériences et leur analyse, nous avons fait un progrès fondamental en physique qui nous permet maintenant de concevoir ce système mécanique capable de dissocier une réaction de l’action dont elle est la conséquence.Le champ de recherche ouvert par nos travaux est immense.

La quantité potentielle d’énergie que nous pourrions produire est illimitée. Cette invention libère les chercheurs du carcan posé par la loi de conservation de l’énergie et le théorème de Carnot. C’est une piste prometteuse pour l’avenir de la planète et une chance pour l’humanité.

 

 

Sur-Unité ?

 

En effet, tant qu’une réaction est égale ou inférieure à l’action dont elle est la conséquence, il ne peut pas y avoir de production d’énergie. Tant que 1 est égal ou inférieur à 1, en raison de l’entropie de tout système mécanique, rien n’est possible.
Sans entrer dans le détail du concept qui nous ouvre cette fabuleuse perspective et ce pour des raisons de protection intellectuelle, nous pouvons illustrer nos propos par un exemple simple à comprendre. Si vous accrochez deux masses symétriques, chacune placée à une extrémité d’un câble, en équilibre sur une poulie, l’ensemble reste stable. Ensuite, si vous savez comment briser l’équilibre entre ces deux masses, par une action interne à ces masses, vous possédez une méthode permettant de produire de l’énergie.
Si l’énergie consommée pour briser l’équilibre entre ces masses est constante, quel que soit le delta de hauteur de ces masses, la production d’énergie reste variable.

Elle est fonction de la course d’éloignement potentielle des masses. En théorie, la réaction est illimitée. Dans la réalité, la réaction est limitée par les dimensions de la machine.
Nos progrès sont régulièrement matérialisés par le dépôt de nouveaux brevets. Ils permettront une valorisation exceptionnelle de l’investissement fait par les partenaires de Gravity One, tout en apportant à l’humanité une nouvelle source d’énergie continue, illimitée et non polluante.

A ce titre, un nouveau brevet a été déposé le 16.05.2023 afin de protéger nos dernières avancées. Il définit une machine autonome capable de produire l’énergie qu’elle consomme, augmentée d’un delta utilisable au profit de l’activité humaine, sans générer de pollution. C’est une énergie continue et non alternative comme le sont les autres énergies renouvelables, tels que l’éolien ou le solaire.

Pour financer la suite des opérations, (66ème prototype en cours), nous sommes réceptifs au soutien éventuel de fondations axées sur les renouvelables. Nous avons aussi la capacité de céder des actions de Gravity One SA à des investisseurs privés. Si ce type d’investissements vous correspond, vous pouvez profiter de cette opportunité pour participer à la naissance de cette nouvelle source d’énergie constante et décarbonée.

 

Financement

 

Les expériences qui ont été à l’origine de la création de Gravity One Genève ont eu lieu de mars 2000 à mars 2005. Elles ont été financées initialement par Pascal Boyer. Ensuite, en mars 2005, nous avons créé Gravity One SA, à Genève. Il a été convenu entre les fondateurs du projet que pour chaque tranche d’investissement de 5.000 CHF, une des mille actions du capital serait attribuée à l’investisseur concerné.

L’engagement de ne pas diluer la participation des actionnaires par une
augmentation de capital, est inscrit dans le marbre.

Gravity One n’a pour l’instant rien à vendre, mais comme tous les laboratoires de recherche, elle a des frais à couvrir pour financer ses travaux. Alors nous sommes toujours heureux d’accueillir de nouveaux partenaires suffisamment visionnaires pour comprendre l’importance de l’enjeu, sans craindre l’opposition dogmatique de la communauté scientifique.

Sur le plan commercial, le fonctionnement autonome d’un premier prototype valorisera les actions Gravity One par cent ou mille. Quel pays accepterait de se priver d’une technologie capable de produire de l’énergie continue, sans pollution, en tous points du globe, sans aucun raccordement à une source d’énergie extérieure ?

La politique commerciale de Gravity-One pourrait consister à accorder des licences d’exploitation des brevets de l’invention, pays par pays, en fonction du PIB de chacun. Ensuite, ces pays pourraient céder des sous-licences à leurs acteurs locaux, afin de les associer au développement de l’invention. Cette approche leur donnera le moyen d’en tirer profit sur leur propre territoire pour y créer de la richesse et des emplois.

En échange, les pays partenaires verseront une redevance annuelle à une «Fondation Gravity-One» qui fédérera et rémunérera des chercheurs mandatés par ces pays. Ils travailleront ensemble, au sein d’un laboratoire international, pour le développement de ce que nous pourrions considérer comme un bien commun. De cette façon, toutes les évolutions techniques apportées au concept, par les uns et les autres, profiteront à l’ensemble des pays signataires.

Une partie des redevances annuelles encaissées par la fondation sera attribuée à Gravity-One SA, au titre de royalties. Ceci permettra de rétribuer nos actionnaires qui auront eu «l’audace» de travailler bénévolement, en finançant nos recherches et nos prototypes, pendant plus de vingt ans, alors que d’autres n’avaient pas le courage de s’aventurer dans l’exploitation de la gravité, «bloqués par des préjugés plus durs à désintégrer qu’un atome», comme disait Albert Einstein.

L’invention d’une nouvelle source d’énergie renouvelable continue et décarbonée aura une valeur inestimable. C’est le bon moment pour y participer !
En souhaitant que ce projet suscite votre intérêt, je vous remercie de l’attention portée à la lecture de ce document et reste à votre disposition pour toute information complémentaire. »

 

****** Fin de la communication de Gravity One********

 

« GRAVITY ONE »
Avenue de Miremont, 13 bis – 1206 Genève Suisse –
Mail: contact@gravity-one.com – Website : www.gravity-one.com
Numéro fédéral CH-660-0735005-7 & CHE-112-299-059

 

 

 

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