Harold Wallace Rosenthal: Peut-être serez-vous choqués ?

 

 

En étudiant en profondeur un grand nombre d’auteurs, juifs ou pas d’ailleurs, certains « complotistes » arrivent néanmoins à la conclusion qu’il existe au sein de cette communauté un groupe arrogant et brillamment organisé, se servant de celle-ci comme d’un parapluie les protégeant de la moindre goutte de la plus légère critique.

Je n’ai personnellement rien contre qui que ce soit et quiconque me connait me sait plutôt pacifique et bienveillant… Aussi n’est-il pas question dans ce qui suit, de stigmatiser la personne de base qui vaque à ses occupations comme tout un chacun, mais de dévoiler l’existence d’un noyau soudé et hautement élitiste agissant de concert dans un but bien précis au sein de cette communauté : Servir ses propres intérêts quel qu’en soit le coût pour le reste de la société.

Notre curiosité devrait être, il me semble, largement émoustillée lorsque l’on constate que le système d’argent-dette sous lequel nous croulons de façon dramatique a été apporté au monde par Monsieur Meyer Amschel Rothschild. Ce système n’est autre chose qu’une mise en esclavage par l’argent roi.

…que le PDG de Pfizer fabricant des « vaccins » tueurs est Monsieur Israël-Abraham Bourla,

…ou encore que le plus grand financier d’Amérique, est Monsieur Larry Fink, PDG de Black Rock qui peut mettre à genoux n’importe quel pays par le simple fait de la fortune dont il dispose…

 

Israël-Abraham Bourla, pdg de Pfizer.

 

Et l’on voudrait nous faire croire que relever cette universelle et évidente position de pouvoir absolu qui est pourtant sous nos yeux, serait une lubie de conspirationnistes délirants !

Ou bien que s’interroger sur la mainmise de cette minuscule « élite » sur l’ensemble des domaines primordiaux concernant l’humanité entière, relèverait de « la théorie du complot » !

Ou encore, et définitivement infamant, qu’il s’agirait là de pur « antisémitizzzme ! », honte ultime et tache indélébile !

 

Diable!

 

Le cas de ce peuple étant unique dans l’Histoire humaine : « Peuple élu par Dieu lui-même » ainsi que les aléas historiques, réels ou supposés subis, nous interdiraient de nous questionner sur les agissements du noyau agissant en leur sein et le plaçant pour ces raisons-mêmes définitivement à l’abri de la moindre critique… Il faut cependant savoir que ce noyau n’a rien à voir avec les Hébreux de l’Antiquité. Il s’agit en réalité, nous dit Benjamin Freedmann, de descendants de l’ancien peuple Khazare ayant peuplé une partie de l’Europe centrale.

Cette mafia « khazare » donc, bien à l’abri de la communauté juive en toute impunité, dévoile néanmoins de plus en plus son arrogance aux yeux de tous. Il est temps de se pencher sur cette question centrale et de reprendre notre force morale pour dévoiler cette tromperie éculée.

La souveraineté de nos esprits et de nos peuples est notre suprême Bien.

Je vous propose donc dans cet article de faire preuve de liberté de pensée et de sérénité pour nous pencher sur le cas de deux représentants de la communauté juive elle-même, donc peu suspects d' »antisémitisme »…

Les faits qu’ils nous soumettent sont parfaitement éclairants et pourtant inconnus hélas de la plupart d’entre nous :

Benjamin Freedman d’une part et Harold Wallace Rosenthal d’autre part.

Vous jugerez par vous-même de façon rationnelle des faits exposés. Je ne me fais ici que le rapporteur de leurs paroles ou écrits.

« Res loquitur ipsa » disaient les anciens Romains: Les faits parlent d’eux-même.

 

Allons-y :

 

Benjamin Freedman

 

Benjamin Harrison Freedman

 

 

Benjamin Harrison Freedman est un homme d’affaires américain du XXe siècle (New York, 1890 – 1984). Il est né dans une famille juive ashkénaze, mais se convertit au christianisme et devient orateur et conférencier.

Qui veut réellement comprendre quoi que ce soit sur ce sujet doit impérativement avoir lu son ouvrage:

« Les Khazars ou L´histoire occultée des faux Hébreux »

En voici deux extraits:

 

«Ils savent que le terme correct pour désigner une personne qui s’opposerait au judaïsme en tant que religion, n’est pas «antisémite», mais bien «judéophobe». Mais s’ils ont préféré la racine «-sémite», à la racine «judéo-», c’est justement pour forger un terme de diffamation.»

Benjamin Harrison Freedman, « Les faits sont les faits : la vérité sur les Khazars »

 

«Les 150 millions de chrétiens des États-Unis ont été soumis à une très haute pression de la part du clergé, pour qu’ils accordent leur soutien inconditionnel au programme sioniste du «retour» de ces «Juifs» d’Europe orientale dans leur «patrie» de Palestine… «Juifs» prétendus et auto-proclamés, qui étaient en réalité les descendants des Khazars. Le clergé nous a sommés de considérer les «Juifs» d’Europe orientale (prétendus ou auto-proclamés tels), comme étant le «peuple élu» par Dieu, et que la Palestine était leur «Terre Promise». Mais en vérité notre clergé savait pertinemment ce qu’il en était.»

 Benjamin Harrison Freedman, « Les faits sont les faits : la vérité sur les Khazars »

 

Lé réalité de l’existence et des écrits de Freedman est documentée et même rapportée dans Wikipédia, dont on connait pourtant le biais de novlangue « anti-complotiste » prononcé.

Je n’invente donc rien.

Et ce n’est donc pas moi, petit blogueur ignare et bucolique qui vous bourre le mou, mais un Juif de pure extraction qui vous livre dans cet ouvrage sa profonde connaissance du sujet.

Un Juif « antisémite » ?

 

 

 

Harold Wallace Rosenthal

 

Deuxième personnage dont vous ne risquez pas d’entendre parler dans la presse corrompue : Harold Wallace Rosenthal, juif également, fanfaron et un peu trop bavard. Il est mort (dans un attentat terroriste peu de temps après, nous explique-t-on), c’est ballot.

 

 

Voici l’entretien qu’il eut avec le journaliste et patriote américain A. Walter White Junior dans les années 1970 :

 

(Original en anglais ici)

 

Harold Wallace Rosenthal (2 novembre 1947 – 11 août 1976) donc, était un fonctionnaire américain, assistant du sénateur Jacob Javits.

Jacob Koppel Javits, né le 18 mai 1904 à New York et mort le 7 mars 1986 à West Palm Beach, est un homme politique américain. Membre du Parti républicain, il est successivement représentant des États-Unis (1947-1954), procureur général de l’État de New York (1955-1957) et sénateur des États-Unis (1957-1981).

 

Jacob Koppel Javits

 

Voici l’entretien traduit en français:

 

(En caractères bleus, que cela soit clair, ce n’est pas moi qui parle !)

 

« Ce que vous allez lire devrait servir d’avertissement à tous les non-juifs du monde entier.

Il devrait, je l’espère, ouvrir les yeux de beaucoup de ceux qui l’ont connu dans les cercles gouvernementaux de Washington. Il devient en effet évident que ce qu’il révèle n’est pas de la fiction. Ce n’est pas de l’imagination !

Il ne faisait pas semblant car il parlait avec connaissance et intelligence. Beaucoup de choses ont été dites et écrites sur la conspiration juive mondiale, mais jamais elle n’a été décrite aussi ouvertement.

Cela stupéfie l’imagination.

Leurs plans sont choquants et beaucoup seront étonnés du contenu de ce document.

Rien de tel n’a jamais été dit auparavant. Nous préférons ne pas nous étendre sur le sujet. À vous d’en juger.

En repensant à l’époque de cette interview et après avoir eu le temps d’analyser la franchise d’Harold Rosenthal, nous sommes obligés de penser à lui comme à une personne vaniteuse, vantarde mais très bien informée. Je le classerais dans la catégorie des égocentrés extrêmes. Parfois, sa cruauté faisait surface avec venin, en particulier lorsqu’il décrivait les « Chrétiens stupides » ou les « goyims » (= bétail), comme il nous appelait si souvent.

Cela m’a surpris car le mot « goy » n’est pas dans notre langue et il devait le savoir. Son esprit était complètement immergé dans le plan mondialiste de la communauté juive mondiale.

Avec arrogance, il se vantait que la conquête du monde par les Juifs était presque complète grâce à la stupidité chrétienne.

Lorsqu’on lui a demandé s’il était sioniste, M. Rosenthal a répondu : « C’est une sacrée question ! Au fondement du problème se trouve le concept sioniste traditionnel d’aliyah, un terme hébreu qui signifie le « rassemblement » ou le retour des Juifs de la diaspora (les Juifs dispersés) dans la patrie palestinienne. Depuis 1948 et la création de l’État d’Israël, l’aliyah est devenue un impératif fondamental de la politique du gouvernement israélien.»

Qu’est-ce que l’aliyah ? Pouvez-vous me l’épeler ?

Il l’a fait et nous lui avons demandé quelle était la signification réelle de l’aliyah.
M. Rosenthal a dit : «C’est une migration physique permanente vers la Palestine, pas seulement une visite.»

Nous avons demandé, qu’est-ce que le sionisme ? J’ai entendu des Juifs le définir comme allant de la migration permanente au soutien spirituel et financier d’Israël de partout dans le monde.

M. Rosenthal a répondu : «Notre premier dirigeant, l’ancien Premier ministre David Ben Gourion, a déclaré que le sionisme sans un «retour à Sion» était un leurre. Peu de Juifs américains émigrent définitivement en Israël. Certains disent que tous les Juifs, par définition, sont sionistes. D’autres disent qu’un Juif n’est pas sioniste à moins d’être membre d’une organisation sioniste active. Les définitions ont été lancées partout depuis que la patrie juive est devenue une réalité.»

Des millions de dollars américains sont envoyés chaque année en Israël, sans payer d’impôts, et nous, les vrais Américains, n’aimons pas cela.

M. Rosenthal a répondu :

«Les politiciens naïfs de Washington sont crédules. La plupart d’entre eux ne sont pas très futés, donc les puissants lobbyistes juifs ont influencé cette pratique il y a des années et personne n’est assez fort pour l’arrêter. Une partie de l’argent est même renvoyée aux États-Unis et dépensée pour des efforts de propagande sioniste, en grande partie par l’intermédiaire du B’nai B’rith (loge maçonique juive), de la Conférence des organisations juives et du Congrès juif mondial.

L’Agence juive est un organisme de financement, une sorte d’organisme de responsables du B’nai B’rith. Il n’y a rien de mal à envoyer des dollars américains en Israël sans payer d’impôts, tant que nous sommes assez intelligents pour nous en sortir.

Inversons nos rôles une minute s’il vous plaît: Vous avez dit clairement et assez bruyamment que vous n’aimiez pas les Juifs. Pourquoi nous détestez-vous ?»

M. Rosenthal, je ne déteste personne. J’ai dit que je déteste ce que les Juifs nous font, en particulier en ce qui concerne tout ce qui touche au christianisme. Je déteste leur tromperie, leur fourberie, leur ruse et leur détestable malhonnêteté. Est-ce que cela fait de moi un antisémite ?

Si c’est le cas, alors je suis « antisémite » !

«L’antisémitisme ne signifie pas l’opposition au sémitisme. Cela n’existe pas ! C’est une expression que nous, les Juifs, utilisons efficacement comme un mot de diffamation, utilisé pour qualifier de bigot, comme vous, quiconque émet des critiques contre les Juifs. Nous l’utilisons contre les semeurs de haine.»

J’avais en effet clairement indiqué que je méprisais l’influence corruptrice des Juifs sur notre culture chrétienne et sur notre mode de vie américain proprement orienté vers le Christ, ce à quoi M. Rosenthal a répondu :

«À l’époque du Christ, les Juifs recherchaient un royaume matériel et terrestre, mais le Christ a offert aux Juifs un royaume spirituel. Cela, ils ne pouvaient pas l’acheter, alors ils ont rejeté Jésus-Christ et l’ont fait crucifier.»

Que voulez-vous dire par « l’avoir fait crucifier » ? L’histoire ne prouve-t-elle pas que les Juifs ont crucifié Jésus-Christ ?

À quoi il a répondu :

«Oui, je suppose qu’ils l’ont fait. Je ne tourne pas autour du pot, mais il y a 2000 ans, votre peuple aurait fait la même chose à un homme qui les aurait maltraités, comme le Christ l’a fait aux Juifs.»

Vous parlez de Jésus-Christ comme d’un simple homme.

«C’est tout ce qu’il était, un homme qui marchait sur la Terre comme n’importe quel autre homme, et ce mythe selon lequel le Christ est ressuscité des morts et est revenu sur Terre pour rendre visite à ses disciples est un tas de conneries. Les Juifs qui ont chassé les Arabes de Palestine l’ont fait pour réfuter la mission du Christ pour un royaume spirituel. Vous voyez, au lieu d’un dirigeant qui créerait un empire pour les Juifs, votre genre de personnes a donné aux Juifs un prédicateur pacifique appelé Christ qui, au lieu de notre « œil pour œil, dent pour dent », déclare: « Si l’on te giffle, tend l’autre joue. » N’importe quoi ! Nous construisons et, en fait, avons construit un empire terrestre sans votre espèce et votre Messie décevant.»

Je vois que c’est vous et votre espèce qui essayez d’exclure le Christ de Noël. Je suis désolé pour vous… Ce à quoi il a rapidement répondu :

«Ne me racontez pas ces conneries. Je ne veux pas de votre pitié. Je n’en ai pas besoin ! Trop de Juifs n’ont pas le courage de vous dire comment nous vivons et planifions, mais je ne me laisse pas intimider par qui que ce soit, ni par quoi que ce soit. Je sais où je vais. »

Nous avons demandé pourquoi les Juifs changent fréquemment de nom. Il a répondu :

« Les Juifs sont les personnes les plus intelligentes du monde, donc s’ils ont intérêt à changer de nom, ils le font. C’est tout. Ils se mélangent à votre société qui est très corrompue, donc, pendant que les Juifs en tirent profit, les goyims stupides ne se rendent pas compte que ces Juifs qui portent des noms non juifs sont des Juifs.

Je sais ce que vous pensez des Juifs au gouvernement qui utilisent des noms non juifs. Ne vous inquiétez pas, car dans un avenir proche, il n’y aura plus de pouvoir présidentiel aux États-Unis. Le gouvernement invisible prend de l’ampleur dans cette direction. »

A votre connaissance, les Juifs de Russie sont-ils réellement persécutés ou bénéficient-ils d’une quelconque liberté ? A quoi il a répondu :

«La plupart des Juifs du monde, je dirais plus de 90 %, savent ce qui arrive réellement à notre peuple. Nous avons une communication inégalée partout. Seuls les imbéciles, les ignorants, les mal informés et les dégénérés peuvent trouver la paix dans votre société et vous, salauds, cachez vos péchés en revêtant des vêtements de mouton. Vous êtes les hypocrites, pas les Juifs, comme vous le dites et l’écrivez.

Pour répondre à votre question, en Russie, il y a deux gouvernements distincts, l’un visible et l’autre invisible. Le visible est composé de différentes nationalités, tandis que l’invisible est composé de Juifs. La puissante police secrète soviétique reçoit ses ordres du gouvernement invisible. Il y a environ six à sept millions de communistes en Russie soviétique, 50 % sont juifs et 50 % sont des gentils (= Chrétiens), mais les gentils ne sont pas dignes de confiance. Les Juifs communistes sont unis et se font confiance, tandis que les autres s’espionnent les uns les autres. Tous les cinq ou six ans, le Conseil juif secret appelle à la purge du parti et beaucoup sont liquidés.

Lorsque je lui ai demandé «pourquoi ?», il a répondu :

«Parce qu’ils commencent à trop comprendre le gouvernement secret juif. Les communistes russes ont un groupe d’ordre secret qui ne comprend que des juifs. Ils dirigent tout ce qui concerne le gouvernement visible. C’est cette puissante organisation qui a été responsable du déplacement secret du centre du communisme à Tel-Aviv d’où proviennent désormais toutes les instructions.»

Notre gouvernement et les Nations-Unies sont-ils au courant de cela ?

Il a répondu :

«Les Nations-Unies ne sont rien d’autre qu’une trappe vers l’immense camp de concentration du monde rouge. Nous contrôlons pratiquement l’ONU.»

Lorsqu’on lui a demandé pourquoi les communistes détruisent la classe moyenne ou les personnes instruites et leurs familles entières lorsqu’ils envahissent un pays, M. Rosenthal a répondu :

«C’est une règle établie de détruire tous les membres du gouvernement préexistant, leurs familles et leurs proches, mais jamais les Juifs. Ils détruisent tous les membres de la police, la police d’État, les officiers de l’armée et leurs familles, mais jamais les Juifs. Vous voyez, nous savons que lorsqu’un gouvernement commence à rechercher les communistes à l’intérieur de ses frontières, il tente en réalité de découvrir les Juifs dans sa région. Nous ne sommes pas dupes !

Les dirigeants invisibles des pays communistes ont un contrôle mondial sur la propagande et les gouvernements des pays libres. Nous contrôlons tous les médias d’expression, y compris les journaux, les magazines, la radio et la télévision. Même votre musique ! Nous censurons les chansons publiées bien avant qu’elles n’atteignent les éditeurs. Bientôt, nous aurons le contrôle total de votre pensée.»

Vue la façon dont vous vous vantez, si cela est vrai, il est effrayant de penser à notre avenir, et à celui du christianisme, auquel M. Rosenthal a répondu :

«Il y aura une guerre de classe forcée ici aux États-Unis et beaucoup seront liquidés. Vous serez sans aucun doute parmi eux. Les Juifs ne seront pas blessés. Je ne me vante pas ! Je vous donne les faits ! Et il est trop tard pour que vos disciples chrétiens se défendent. Ce temps est révolu depuis longtemps. Il y a bien longtemps, nous avons dû devenir les agresseurs ! C’est sans aucun doute l’un de nos grands objectifs dans la vie. Nous sommes des agresseurs ! Parce que vous avez volé vos prétendues croyances religieuses à notre Talmud.»

Après lui avoir rappelé que nous pensions qu’il était intelligent, mais que nous réalisons maintenant qu’il ne sait pas de quoi il parle, il a répondu :

«Le judaïsme est une culture sans égale, sans rien, nulle part ailleurs dans le monde qui puisse lui être comparé. Votre prétendu christianisme est une émanation du judaïsme. L’influence culturelle et intellectuelle du judaïsme se fait sentir dans le monde entier, oui, dans toute la civilisation.»

Quand je lui ai demandé s’il pensait que nous allions être confrontés à un problème avec les Noirs en raison de leur augmentation démographique surprenante, il a répondu que les Noirs contribuaient à servir «notre objectif», ce qui pourrait signifier plusieurs choses.

Nous avons discuté de l’invasion des Noirs dans les villes, les comtés et les États et de leur importance actuelle à la télévision. Nous avons également évoqué le fait que les Noirs sont ridicules lorsqu’ils se convertissent au judaïsme, comme Sammy Davis par exemple. M. R. a répondu :

« Cela ne veut rien dire. Nous savons qu’un Noir ne peut pas devenir Juif et que Sammy Davis est toujours Noir. Il a peut-être eu intérêt à se convertir. En réalité, il reste un nègre et non un Juif.»

Je lui ai parlé de mes études approfondies sur les Juifs et du fait que peu de gens avaient fait autant de recherches que moi sur le judaïsme mondial. J’ai également parlé de mes découvertes désagréables, rappelant à Mr. Rosenthal qu’il n’y a pas de moralité chez les Juifs. Il a répondu :

«L’argent est plus important que la morale. Nous pouvons tout accomplir avec de l’argent. Notre peuple le prouve en Israël, où sa force contre les attaques réside dans son état permanent de préparation à la guerre. Israël peut désormais gagner dans n’importe quelle confrontation. Les éléments intellectuels issus du kibboutz vont faire de ce petit pays un pays des merveilles du Moyen-Orient. Il deviendra également à terme la base du siège du gouvernement mondial.» (Le judaïsme talmudique est une religion de contrôle du monde et d’esclavage juif.)

Nous avons discuté de la tragédie du Watergate et de la corruption à tous les niveaux du gouvernement et suggéré que les représentants du gouvernement fassent preuve de plus d’ouverture et de franchise dans leurs rapports avec la population. M. R. a déclaré :

«À quoi cela servirait-il ? Que sait donc le public du fonctionnement du gouvernement ? La grande majorité sont des ânes !»

Pouvons-nous vous citer à ce sujet ?

« Je m’en fiche: ce que vous faites, comme je l’ai dit, peu de gens ont le courage de l’exprimer. Nous aurions tous une meilleure compréhension entre nous – juifs et non juifs – si nous parlions plus ouvertement. Votre peuple n’a pas de cran. Nous façonnons votre façon de penser – nous instillons même en vous un « complexe de culpabilité » qui vous fait peur de critiquer ouvertement les juifs.»

 

La croyance et la religion juives :

 

Dans le calme de cette conversation éclairante, il devint évident que la compréhension qui s’était dégagée n’était pas celle d’un novice. On demanda à M. Rosenthal comment les Juifs étaient si facilement acceptés par les autres races. Sa réponse fut longue et complète.

«Très tôt, poussés par le désir de faire leur chemin dans le monde, les Juifs ont commencé à chercher un moyen de détourner toute attention de l’aspect racial. Quoi de plus efficace et en même temps de plus insoupçonnable que d’emprunter et d’utiliser l’idée d’une communauté religieuse ? Nous avons été obligés d’emprunter cette idée aux Aryens. Nous, les Juifs, n’avons jamais possédé d’institution religieuse issue de notre propre conscience, car nous manquons de toute sorte d’idéalisme. Cela signifie que la croyance en une vie au-delà de cette existence terrestre nous est étrangère.

En fait, le Talmud n’énonce pas de principes pour préparer l’individu à une vie future, mais fournit seulement des règles pour une vie somptueuse dans ce monde. C’est un recueil d’instructions pour maintenir la race juive et réguler les relations entre nous et les goyim. Nos enseignements ne concernent pas les problèmes moraux, mais plutôt la façon de « s’en sortir ». (Cela explique la nature parasitaire du peuple juif. Les Juifs ne s’enrichissent jamais les uns des autres, mais cherchent à «obtenir» le travail et la richesse des autres.)

«En ce qui concerne la valeur morale de l’enseignement religieux des Juifs, il existe des études très exhaustives qui montrent le type de religion que nous avons sous un jour qui le rend étrange aux yeux de l’esprit aryen. Nous sommes le meilleur exemple du type de produit que l’éducation religieuse fait évoluer. Notre vie est de ce monde seulement et notre mentalité est aussi étrangère au véritable esprit du christianisme que notre caractère l’était au fondateur de cette nouvelle croyance il y a 2000 ans.

Le fondateur du christianisme n’a pas caché son animosité pour les Juifs …

…. et le fait qu’il n’était pas l’un des nôtres.

Lorsqu’il l’a jugé nécessaire, il nous a chassés du temple, car alors, comme toujours, nous avons utilisé la religion comme un moyen de faire avancer nos intérêts commerciaux. » (Les marchands de Babylone ont commercialisé notre société.)

« Mais à cette époque, nous avons réussi à clouer Jésus sur la croix à cause de son attitude envers nous ; alors que les chrétiens modernes entrent dans la politique partisane et, pour gagner des élections, ils se rabaissent en mendiant les votes juifs. Ils entrent même dans des intrigues politiques avec nous contre les intérêts de leur propre nation. (Ces gens ont été qualifiés de divers noms : scélérats, prostituées politiques, opportunistes, charlatans, traîtres, larbins, pions, etc.)

«Nous ne pouvons vivre parmi d’autres nations et d’autres États que si nous réussissons à les persuader que les Juifs ne sont pas un peuple distinct, mais les représentants d’une foi religieuse qui, par conséquent, constitue une «communauté religieuse», même si celle-ci a un caractère particulier. En fait, c’est là le plus grand de nos mensonges.

Les Juifs ont établi cinq mensonges majeurs qui servent à dissimuler leur nature et à protéger leur statut et leur pouvoir, à savoir :

1) Les Juifs sont des Israélites, et donc le peuple élu de Dieu

2) Jésus-Christ était juif

3) Que 6 millions de Juifs ont été tués dans un holocauste pendant la Seconde Guerre mondiale

4) Que toutes les races sont égales, ou que toutes sont frères

5) Que les Juifs ne sont qu’un autre groupe religieux.

« Nous sommes obligés de dissimuler notre caractère et notre mode de vie particuliers afin de pouvoir continuer à exister comme un parasite parmi les nations. Notre succès dans ce domaine est allé si loin que beaucoup croient que les Juifs parmi eux sont de véritables Français, ou Anglais, ou Italiens, ou Allemands, qui appartiennent simplement à une confession religieuse différente de celle qui prévaut dans ces pays.

Surtout dans les cercles concernés par le gouvernement, où les fonctionnaires n’ont qu’un minimum de sens historique, nous sommes capables d’imposer notre tromperie avec une relative facilité. Par conséquent, il n’y a jamais le moindre soupçon que nous, les Juifs, formons une nation distincte et ne sommes pas simplement les adeptes d’une «confession». Pourtant, un coup d’œil sur la presse que nous contrôlons devrait fournir suffisamment de preuves du contraire, même pour ceux qui ne possèdent qu’un minimum d’intelligence.»

 

Le pouvoir de l’argent:

 

Interrogé sur la manière dont les Juifs ont accédé au pouvoir, M. Rosenthal a déclaré :

«Notre pouvoir a été créé par la manipulation du système monétaire national. Nous avons rédigé la citation : «L’argent, c’est le pouvoir». Comme le révèle notre plan directeur, il était essentiel pour nous de créer une banque nationale privée. Le système de la Réserve fédérale correspondait parfaitement à notre plan puisqu’il nous appartient, mais son nom implique qu’il s’agit d’une institution gouvernementale. Dès le début, notre objectif était de confisquer tout l’or et l’argent, en les remplaçant par des billets de banque sans valeur et non échangeables. C’est ce que nous avons fait !»

Interrogé sur le terme «billets non remboursables», M. Rosenthal a répondu :

«Avant 1968, le goy crédule pouvait prendre un billet de la Réserve fédérale d’un dollar dans n’importe quelle banque américaine et l’échanger contre un dollar, ce qui était, selon la loi, une pièce contenant 412 grains et demi d’argent à 90 %. Jusqu’en 1933, on aurait pu échanger le même billet contre une pièce de 25 grains et demi d’or à 90 %.

Tout ce que nous faisons, c’est donner au goy plus de billets non échangeables, ou bien des lingots de cuivre. Mais nous ne leur donnons jamais leur or et leur argent. Seulement plus de papier », a-t-il déclaré avec mépris. Nous, les Juifs, avons prospéré grâce au stratagème du papier. C’est notre méthode par laquelle nous prenons de l’argent et ne donnons que du papier en retour.

Le problème économique de l’Amérique et du monde est en fin de compte un problème juif, ou comme l’a déclaré Henry Ford : «La question de l’argent, correctement résolue, est la fin de la question juive et de toutes les autres questions sociales. »

Pouvez-vous me donner un exemple de cela, avons-nous demandé ?

«Les exemples sont nombreux, mais quelques-uns sont évidents : le marché des actions et des obligations, toutes les formes d’assurance et le système de réserves fractionnaires pratiqué par la Federal Reserve Corporation, sans parler des milliards d’or et d’argent que nous avons gagnés en échange de billets de banque, stupidement appelés monnaie. Le pouvoir de l’argent était essentiel pour mener à bien notre plan directeur de conquête internationale par la propagande.

Lorsqu’on lui a demandé comment ils envisageaient de procéder, il a répondu :

«Au début, en contrôlant le système bancaire, nous avons pu contrôler le capital des entreprises. Grâce à cela, nous avons acquis le monopole total de l’industrie cinématographique, des réseaux de radio et des nouveaux médias télévisuels. L’imprimerie, les journaux, les périodiques et les revues techniques étaient déjà tombés entre nos mains.

Le plus gros gain est venu plus tard lorsque nous avons pris en charge la publication de tous les manuels scolaires.

Grâce à ces moyens, nous avons pu façonner l’opinion publique à nos propres fins. Les gens ne sont que des porcs stupides qui grognent et crient les slogans que nous leur adressons, qu’ils soient vrais ou mensongers.»

 

Contrôle et conditionnement de l’esprit :

 

Lorsqu’on lui a demandé si les Juifs ressentaient une menace de la part de la «majorité silencieuse», il a ri de cette idée en déclarant :

«Il n’existe pas de majorité silencieuse, car nous contrôlons leurs cris. La seule chose qui existe est une majorité irréfléchie, et elle restera irréfléchie, tant que son évasion de notre système rigoureux reste l’opium de notre industrie du divertissement. En contrôlant cette industrie, nous sommes devenus les maîtres et les gens les esclaves !

Lorsque la pression du « monde du travail » atteint un degré trop explosif, nous fournissons la soupape de sécurité du plaisir momentané. Les industries de la télévision et du cinéma fournissent la distraction temporaire nécessaire. Ces programmes sont soigneusement conçus pour faire appel aux émotions sensuelles, jamais à l’esprit logique. Pour cette raison, les gens sont programmés pour répondre selon nos diktats, et non selon la raison. »

Poursuivant sa réflexion sur le contrôle juif sur les goyims, Mr. Rosenthal a déclaré :

«Nous avons castré la société par la peur et l’intimidation. Sa virilité n’existe qu’en combinaison avec une psychologie féminine de plus en plus prépondérante. Étant ainsi castré, le peuple est devenu docile et facile à gouverner. Comme tous les hongres dans la nature, leurs pensées ne sont pas préoccupées par l’avenir et ni par leur postérité, mais seulement par le labeur quotidien et le prochain repas.»

 

Manipulation du travail et de l’industrie :

 

Il était évident que l’enthousiasme de Mr. Rosenthal était déclenché lorsque l’on faisait mention de l’industrie national:

«Nous avons réussi à diviser la société contre elle-même en opposant les travailleurs aux patrons. Le mouvement social-ouvrier, employant des syndicats, manipulant les salaires et les prix et réglementant les affaires par l’État, était l’idée originale de juifs comme Karl Marx et Samuel Gompers.

Le résultat en fut la destruction de la libre entreprise.

C’est peut-être l’un de nos plus grands exploits, car en réalité il s’agit d’un triangle, bien que seuls deux points semblent jamais se rencontrer. Dans l’industrie moderne où existe le capital, la force que nous représentons est le sommet. Les patrons et les ouvriers sont tous deux à la base de ce triangle. Ils s’opposent continuellement l’un à l’autre et leur attention n’est jamais dirigée vers le problème principal.

Les patrons sont obligés d’augmenter les prix puisque nous augmentons sans cesse le coût du capital. Les ouvriers doivent avoir des salaires croissants et les patrons doivent avoir des prix plus élevés, créant ainsi un cercle vicieux. Nous ne sommes jamais appelés à rendre des comptes sur notre rôle qui est la véritable raison de l’inflation, car le conflit entre les patrons et les ouvriers est si grave qu’aucun des deux n’a le temps d’observer nos activités.

C’est l’augmentation du coût du capital qui provoque le cycle de l’inflation. Nous ne travaillons pas et ne gérons pas, et pourtant nous recevons des profits. Grâce à notre manipulation monétaire, le capital que nous fournissons à l’industrie ne nous coûte rien. Par l’intermédiaire de notre banque nationale, la Réserve fédérale, nous accordons un crédit comptable, que nous créons à partir de rien, à toutes les banques locales qui sont des banques membres. Elles accordent à leur tour un crédit comptable à l’industrie. Ainsi, nous faisons plus que Dieu, car toute notre richesse est créée à partir de rien.

Vous avez l’air choqué ! Ne le soyez pas !

C’est vrai, nous faisons en réalité plus que Dieu. Avec ce prétendu capital, nous amenons l’industrie, la direction et le travail dans notre dette, laquelle dette ne fait qu’augmenter et n’est jamais liquidée. Grâce à cette augmentation continue, nous sommes capables d’opposer la direction au travail afin qu’ils ne s’unissent jamais pour nous attaquer et inaugurer une utopie industrielle sans dette.

Nous sommes devenu l’élément nécessaire bien que ne produisant rien !

La direction pourrait très bien créer son propre capital: les profits. Son entreprise se développerait et les profits augmenteraient. Le travail prospérerait également, tandis que le prix du produit resterait constant, la prospérité de l’industrie, du travail et de la direction augmenterait ainsi continuellement.

Nous, les Juifs, nous glorifions du fait que les goyims stupides n’ont jamais compris que nous sommes les parasites qui consomment une part croissante de la production, tandis que les producteurs reçoivent continuellement de moins en moins !»

 

Le contrôle de la religion:

 

Au fil des heures de cet entretien intense mais cordial, Mr. Rosenthal a exposé ses pensées sur la religion.

«La religion doit aussi être enseignée, et nous avons travaillé pour y parvenir. Comme l’a déclaré le Juif Karl Marx : «La religion est l’opium du peuple.»
Grâce à notre contrôle sur l’industrie des manuels scolaires et sur les médias, nous avons pu nous présenter comme les autorités en matière de religion. Beaucoup de nos rabbins sont aujourd’hui professeurs dans des séminaires théologiques soi-disant chrétiens. Nous sommes stupéfaits de la stupidité des chrétiens qui acceptent nos enseignements et les propagent comme les leurs. (C’est l’une des principales raisons du pouvoir et du contrôle que les Juifs ont acquis sur les nations blanches :

 

L’adoption des coutumes juives:

 

Comme l’a déclaré Henry Ford : « Le chrétien ne peut lire sa Bible qu’à travers des lunettes juives et, par conséquent, la lit mal. » (The International Jew Vol. IV, p. 238).

En conséquence, les chrétiens n’ont pas la parole de Dieu sur un certain sujet, ils ont la parole du Juif !

Le judaïsme n’est pas seulement l’enseignement de la synagogue, mais aussi la doctrine de chaque «Église chrétienne» en Amérique.

Grâce à notre propagande, l’Église est devenue notre plus fervent partisan. Cela nous a même donné une place spéciale dans la société, car ils croient au mensonge selon lequel nous sommes le «peuple élu» et eux, des « Gentils ».

«Ces enfants de l’Église, égarés, nous défendent au point de détruire leur propre culture ! Les Juifs n’ont pas besoin d’appuyer sur chacun des interrupteurs qui provoquent la destruction ou la judaïsation de la civilisation chrétienne, car dans de nombreux cas, ils ont leurs propres prosélytes pour le faire à leur place !

Cette vérité est évidente même pour l’idiot lorsqu’on regarde l’histoire et qu’on voit que toutes les guerres ont été menées par des Blancs contre des Blancs afin que nous gardions notre contrôle.

Nous avons contrôlé l’Angleterre pendant la guerre d’indépendance, le Nord pendant la guerre civile, et l’Angleterre et l’Amérique pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale. Grâce à notre influence religieuse, nous avons pu impliquer les chrétiens blancs ignorants dans une guerre contre eux-mêmes, ce qui a toujours appauvri les deux camps tandis que nous récoltions une moisson financière et politique.

Chaque fois que la vérité éclate et nous expose, nous rassemblons simplement nos troupes: les chrétiens ignorants !!

Ceux-ci attaquent alors immédiatement le moindre « croisé de la vérité », même s’il est membre de leur propre famille ! »

(Et quiconque a été en première ligne pour révéler la vérité sur la question juive, peut attester de ce fait !!)

« Grâce à la religion, nous avons obtenu le contrôle total de la société, du gouvernement et de l’économie. Aucune loi n’est jamais votée sans que ses mérites n’aient été préalablement enseignés en chaire :

Un exemple de cela est « l’égalité raciale » qui a conduit à l’intégration et finalement au métissage.

Le clergé crédule instruit ses paroissiens que nous sommes un peuple spécial et élu, tandis que dans le même temps, il proclame que toutes les races sont égales !

Leur incohérence n’est jamais ni découverte, ni remarquée…

Ainsi, nous, les Juifs, jouissons d’une place spéciale dans la société tandis que toutes les autres races sont réduites à l’égalité raciale. C’est pour cette raison que nous avons créé le canular de l’égalité, réduisant ainsi tout le monde à un niveau inférieur.

Ainsi, il est enseigné que nos pratiques économiques actuelles sont bienveillantes et donc chrétiennes !

Ces perroquets vantent donc notre bonté pour leur avoir prêté l’argent nécessaire à la construction de leurs temples, sans jamais se rendre compte que leur propre livre sacré condamne toute usure.

Ils sont impatients de payer nos taux d’intérêt exorbitants.

Ils ont placé la société sous notre contrôle par la même pratique. Politiquement, ils saluent les bienfaits de la démocratie et ne comprennent jamais que grâce à la démocratie nous avons pris le contrôle de leur nation.

Leur « démocratie » n’est que le règne de la foule. Or nous contrôlons cette foule par le biais de leurs églises, de nos médias et de nos institutions financières et économiques. Leur religion n’est qu’un canal de plus pour notre propagande.

La stupidité de ces marionnettes religieuses n’est dépassée que par leur lâcheté, tant elles sont aisément manipulées.»

 

La lumière se lève:

 

Il est rare qu’un homme confesse l’intimité de son âme comme l’a fait Mr. Rosenthal. Rétrospectivement, il semble qu’une force supérieure ait poussé cet homme à révéler ce qui a été écrit ici. Le reste de l’entretien semble le confirmer.

«Puisque nous, Juifs, ne croyons pas à une vie après la mort, tous nos efforts sont dirigés vers le présent. Nous ne sommes pas aussi stupides que vous et n’adopterons jamais une idéologie qui est enracinée dans le sacrifice de soi. Alors que vous vivrez et mourrez pour le bien de la communauté, nous vivrons et mourrons seulement pour notre propre moi individuel.

L’idée du sacrifice de soi est abhorrée par les juifs. Elle me répugne. Aucune cause ne vaut la peine de mourir, car la mort est la fin de tout.

Le seul moment où nous nous unissons, c’est pour préserver notre moi individuel. Comme un groupe de loups s’unit pour attaquer une proie, mais se disperse ensuite une fois chacun rassasié, ainsi nous, les juifs, nous nous unissons lorsque le péril est imminent, non pas pour préserver notre communauté, mais pour sauver notre propre peau.

« Cette attitude imprègne tout notre être et notre philosophie. Nous ne sommes pas des créateurs, car créer ne profiterait qu’à autrui. La race blanche, elle, a clairement été créatrice en termes d’inventions, de réalisations grandioses, etc… Réalisations dont toutes les autres races ont bénéficié !

(Comme prophétisé dans Genèse 12:3, 28:14. Ce qui tend à prouver d’ailleurs que les Juifs ne sont pas « le peuple élu » de Dieu… Note du journaliste)

 » Nous sommes donc des « acquéreurs » et nous ne nous intéressons qu’à la satisfaction du « moi ». Pour comprendre notre philosophie, comprenez le terme « obtenir ». Nous ne donnons jamais, nous prenons seulement. Nous ne travaillons jamais, nous profitons des fruits du travail des autres. Nous ne créons pas, mais nous confisquons. Nous ne sommes pas les producteurs, mais les parasites.

Nous pouvons vivre physiquement dans n’importe quelle société, mais toujours en restant spirituellement à part. Travailler serait produire et la forme la plus élevée de ce travail serait de créer. Votre race a toujours travaillé pour la satisfaction de ce qu’elle produit. Nous ne travaillerions jamais pour le bénéfice de qui que ce soit, seulement pour ce que nous pouvons obtenir. Nous avons utilisé cette aptitude aryenne, qui est la vôtre, pour atteindre notre plus grande prospérité !

Vous travaillez en fait pour le plaisir que vous tirez de la production, sans jamais vous soucier du salaire. Nous captons cette capacité productive pour une somme dérisoire et la transformons en fortune inimaginable pour vous.

Jusqu’à récemment, la fierté du travail dépassait la quête de revenus élevés. Cependant, nous avons pu asservir la société à notre propre pouvoir qui est l’argent, en l’obligeant à le rechercher.

Nous avons converti les gens à notre philosophie de l’obtention et de l’acquisition, de sorte qu’ils ne seront jamais satisfaits.

Les gens insatisfaits sont les pions de notre jeu de conquête du monde.

Ainsi, ils recherchent toujours et ne parviennent jamais à trouver satisfaction. Au moment même où ils recherchent le bonheur en dehors d’eux-mêmes, ils deviennent nos serviteurs consentants.

Votre peuple ne se rend jamais compte que nous ne lui offrons que des babioles sans valeur qui ne peuvent lui apporter aucun épanouissement : Il s’en procure une, la consomme, mais n’est pas rassasié.

Il s’en procure une autre, la consomme mais, n’est pas rassasié.

Nous lui en présentons une autre… Etc…

Nous avons un nombre infini de distractions extérieures, à tel point que la vie ne peut plus se tourner vers l’intérieur pour trouver un accomplissement réel. Autrement dit, vous êtes devenus accros à notre médecine par laquelle nous sommes devenus vos maîtres absolus.

(C’est pourquoi le Christ a dit : « Gardez-vous du levain des pharisiens » (Matthieu 16 :6). C’était un avertissement contre leurs doctrines talmudiques-babyloniennes, qui se développent dans l’esprit des hommes et imprègnent toute la société, jusqu’à ce que cette philosophie les asservisse finalement (Colossiens 2 :8): Note du journaliste.

« Sur le premier mensonge fondamental, qui a pour but de faire croire aux gens que nous ne sommes pas une nation, mais une religion, d’autres mensonges se fondent par la suite. Notre plus grande crainte est que ces mensonges soient découverts, car nous serons éradiqués dès que le grand public entrera en possession de la vérité et agira en conséquence.

Car c’est une chose de mettre un homme en face de la vérité. Qu’il la comprenne en est une autre et l’amener à agir en conséquence en est encore une autre.

La vérité en elle-même n’a aucune valeur si elle n’est pas utilisée ou appliquée d’une manière ou d’une autre de façon concrète.

Il devient hélas évident qu’un réveil se produit même ici, en Amérique…

Nous avions espéré que, par la dévastation de l’Allemagne chrétienne, tout sujet nous concernant serait définitivement un tabou absolu. Cependant, il semble y avoir une résurgence ici-même, dans la nation que nous contrôlons pourtant le plus fortement.

Nous préparons actuellement un exode rapide. Nous savons que lorsque la lumière commencera à poindre, rien ne pourra l’arrêter. Tous les efforts de notre part ne feront qu’intensifier cette lumière et attirer l’attention sur elle.

Nous craignons évidemment que la lumière ne se fasse jour dans les mouvements qui se déroulent dans ce pays en particulier. Nous avons été stupéfaits de voir comment vous avez réussi à atteindre les gens après que nous ayons fermé toutes les portes de communication. Nous craignons que ce soit le signe d’un pogrom à venir qui aura lieu bientôt en Amérique. Le public américain a compris que nous avions le contrôle, ce qui est une erreur fatale de notre part.

Cette nation ne pourra jamais être le pays des hommes libres tant qu’elle sera le pays des Juifs. (C’est un concept que la plupart des patriotes ne peuvent pas comprendre. Les patriotes ont passé des heures incalculables à lutter contre l’IRS, la Réserve fédérale, les médias, le Congrès ou le gouvernement en général, mais ces choses ne sont en réalité que nos outils.

Le problème n’est évidemment pas l’outil ou le dispositif, mais ceux qui le contrôlent. Et c’est cette révélation qui causera notre perte.

Le peuple américain a été facilement dominé par notre propagande selon laquelle la plume est plus puissante que l’épée. Nous nous en sortons toujours impunément avec un meurtre car tout ce que font les goyims, c’est d’en parler. Ce qui est parfaitement inefficace puisque nous, maîtres absolus de la propagande, publions toujours un récit contradictoire.

Si vous, Aryens, examinaient l’Histoire et appliquaient les leçons du passé, alors la plume serait jetée par terre avec dégoût et l’épée brandie avec le feu de la passion !

Un retour assidu à l’Histoire édifierait en effet vos esprits et vous montrerait que les pays européens n’ont toujours résolu leur problème juif que par une force opposée à la nôtre.

Jusqu’à présent nous avons échappé à l’épée puisque les seules représailles sont un périodique sans réputation ou un pamphlet à diffusion limitée. Leur plume n’est pas de taille face à la nôtre !

Cependant nous craignons constamment que votre peuple ouvre les yeux et apprenne qu’aucun changement n’a jamais été apporté par une plume. L’histoire a été écrite avec du sang, pas avec de l’encre. Aucune lettre, aucun éditorial ni aucun livre n’a jamais rallié le peuple ni mis fin à la tyrannie.

Ayant intégré ce principe, nous faisons continuellement de la propagande auprès des citoyens pour qu’ils écrivent des lettres au Président, au Congrès et aux médias locaux.

Nous pouvons exploiter, intimider et priver les Américains blancs de leurs droits tant que demeure l’illusion de pouvoir éduquer les masses par le biais de simples documents imprimés…

Mais malheur à nous s’ils voient un jour la futilité de cette démarche et déposent alors la plume pour employer l’épée.

L’Histoire confirme en effet le fait que les passions d’une minorité enflammée, aussi petite soit-elle, exercent suffisamment de pouvoir pour renverser le plus grand empire.

Les mouvements qui contrôlent le destin des peuples ne sont pas ceux qui reposent sur une majorité inactive, mais sur la seule force d’une minorité active.

La volonté EST le pouvoir, pas le nombre, car une volonté forte dominera toujours les masses !»
Nous sommes en sécurité tant que NOTRE volonté est plus forte que LA VOTRE, ou tant que celle-ci est mal orientée, dispersée et sans direction.

Nous ne serons jamais destitués par des mots, seulement par une force morale supérieure à la notre! »

Ne serait-ce d’ailleurs pas la démarche logique et appropriée pour débarrasser le pays de tout type d’envahisseur ou d’ennemi hostile ? En examinant l’étendue du pouvoir et du contrôle juifs sur l’Amérique, Henry Ford avait déclaré en son temps que ce contrôle « ne peut s’expliquer que par la VOLONTE de puissance juive ». The International Jew (1920) Vol. I, p. 210 : Note du journaliste)

 

 

 

 

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