Faîtes-vous confiance en la divine Providence ?
J’ai bien conscience qu’en faisant de but en blanc référence au Divin, beaucoup mettrons directement cet article au panier.
Qu’importe.
Je dirais même que ça permet de faire un certain tri des esprits: Les esprits ouverts… Et les autres Messieurs-Mesdames-Je-sais-tout 😉
Mon but avec ce blog n’est pas de faire de l’audience à tout prix, mais de toucher ceux qui, d’une part s’interrogent et sont en quête de sens, et d’autre part ceux aux âmes déjà dotées d’une sensibilité fine que la Matrice ignore, rejette ou calomnie.
Un petit détour par le « puits de science » officiel qu’est Wikipedia… qui pour une fois ne dis pas de bêtises insondables :
« La providence est une forme d’action divine sur le monde. Elle est caractérisée par une volonté, non humaine et transcendante, accompagnant les actions humaines vers des horizons bienveillants de justice et de paix.
La définition du concept de providence est liée à l’évolution de la théologie et à l’histoire de la philosophie occidentale. Le concept prend racine à l’Antiquité et s’oppose au concept de hasard et dans un certain sens à celui de fatalité. La providence est attribuée à Dieu, au titre de son omniscience. »
S’en suivent d’intéressantes références à l’origine historique du concept de providence: Du monde gréco-romain au christianisme, ce concept a toujours été bien ancré dans les existences individuelles voire collectives. Je vous engage à en prendre connaissance.
L’arrivée de la « Renaissance », prémisse du matérialisme actuel, a naturellement vu l’éclipse de la providence. L’Homme n’a strictement rien à voir avec son origine divine et entend se conduire à sa propre guise dans un monde strictement matériel livré au hasard le plus total… L’apogée de cette conception sera sans doute « l’existentialisme » de Sartre où l’Homme est l’unique acteur matériel de son destin.
Jean-Paul Sartre.
Je sais pas vous, mais le visage de ce type m’a toujours glacé le sang ! (Bon ok, vous n’êtes pas responsable de la tête que vous avez, mais vous êtes responsable de celle que vous faites.)
Bref, nous sommes avec l’existentialisme de Sartre et de ses nombreux descendants actuels dans un un huis-clos où toute respiration d’ordre spirituel a disparue. Dans ce monde étanche, la providence n’a évidemment aucun sens. Par conséquent, elle ne peut avoir aucune action !
Le nom de la providence a néanmoins resurgi aux XVIIIème et XIXème siècles et ce sont alors les congrégations religieuses féminines de la Providence qui prendront soin des enfants abandonnés ou des orphelins.
Congrégation de La Providence
Enfin, cette divine Providence a très récemment « veillé » sur la France régicide de 1789 en lui « offrant » un impitoyable liquidateur: le « Président Macron » (Anagramme phonétique de « Monarque », véritablement un Monarque inversé, un Monarque du Mal…) celui-ci ayant fait ses études au lycée de La Providence à Amiens !
Le Monarc Macron, Bête de l’évènement et jouet des puissances occultes destructrices.
…Et notre dernier monarque réel en date, le débonnaire et très chrétien Louis XVI, assassiné par les ancêtres et sponsor de « Monarc »-Macron: L’inversion est totale !
Cette petite introduction faite, j’en arrive à la substantifique moelle, comme l’écrivait Rabelais:
De deux chose l’une: Ou bien le concept de providence est un reliquat désuet et vaguement ridicule des époques où l’humanité croyait, dans sa grande naïveté, à Dieu, au transcendant, au religieux, à l’Esprit, au pneuma, appelez-le comme vous voudrez. Dans ce cas, il ne s’agit objectivement que d’illusion, de croyance etc , sans aucune réalité. Passons donc à autre chose car l’Homme est alors le jouet du hasard, comme peut l’être un vulgaire bouchon à la surface de l’océan.
Ou bien ce que nous mettons sous ce terme possède de toute éternité une réalité indépendante des croyances humaines et des époques. Dans ce cas il s’agit d’une constante, d’une permanence, bref d’une loi active de la Création.
Permettez-moi de penchez vers cette seconde hypothèse 😉 … Tout simplement car je constate chaque jour son existence et son immense générosité.
L’ère du matérialisme aride étant terminé, même si nous en ressentons encore les lourds effets, les sciences de pointe témoignent à présent d’une réalité bien plus complexe que la science issue de la Renaissance ne l’avait imaginé. Ceci à un tel point que l’on découvre tout bonnement l’influence de la conscience sur le déroulement de phénomènes physiques ! Ou, autre exemple, qu’une substance donnée, diluée dans de l’eau au point où l’on n’en retrouve plus aucune trace matérielle, continue à avoir une action sur notre organisme (homéopathie). Etc… Ceci est à présent amplement documenté.
Il devient donc de plus en plus évident que ce que nous appelons notre réalité de tous les jours se double d’une autre réalité, « invisible » mais bien réelle, qui interagit avec la première.
Dans ce contexte d’une vision renouvelée et élargie, notre fameuse providence acquière une singulière actualité !
Tout devient limpide: Si notre conscience, comme l’affirme la physique de pointe, influence les phénomènes matériels, alors la qualité de cette conscience, positive ou négative, influencera positivement ou négativement notre réalité ! On entend donc souvent parler aujourd’hui de « pensée positive ». Avoir de « bonnes pensées », suivant cette théorie, attirera de « bonnes choses » dans notre vie.
C’est vrai bien sûr… mais à mon sens c’est bien insuffisant. La pensée est encore une couche assez « matérielle » de l’Etre humain. Il faut creuser plus profond. Nous devons aller à la racine de ce qui fait notre conscience pour rejoindre ainsi la méga-conscience de la Création.
La Providence n’est autre que la réponse de la Méga-conscience de la Création à la vibration particulière que lui envoie notre propre conscience.
Il s’agit donc un phénomène à la fois naturel ET surnaturel. C’est la fameuse « loi de l’attraction » dans sa forme la plus complète.
On pourrait décrire à peu près ainsi la logique divine qui préside à cette Loi:
L’émotion en notre profondeur crée la vibration, et la vibration attire, exactement comme un aimant. On n’attire pas ce que l’on dit vouloir ; on attire ce que l’on « vibre » vraiment, ce que l’on porte en soi avec conviction émotionnelle. On peut répéter mille affirmations, mais, si intérieurement on vibre de doute, de peur ou de manque, la Création ne capte rien.
Quelle est votre fréquence ? Ecoutez la.
Voulez-vous changer votre vie ? Alors, changez votre énergie, changez vos sentiments avant que les choses ne changent.
Voilà le secret de la divine Providence.
Imaginez ce que vous ressentiriez si vous aviez déjà ce que vous désirez. Ressentez la paix, la joie, le soulagement. Concrétisez-le dans votre corps, dans votre cœur. Cette émotion est votre message. Cette vibration est votre requête à la Création, et la Création ne faillit jamais ; Elle ne répond pas aux caprices, elle répond de façon cohérente à votre cohérence intérieure.
C’est pourquoi il ne suffit pas de « penser positivement ».
Je vous invite à faire une expérience: N’attendez plus que quelque chose change pour être heureux. Commencez à être heureux pour que tout change!
Remerciez d’avance, emplissez-vous de gratitude, faites confiance sans preuve, faites comme si vous étiez déjà exaucé ! Car lorsque vous changez votre vibration, tout autour de vous se met à bouger.
Vous allez voir, ça marche. La vie commence à vous répondre d’une manière qui vous semblait auparavant impossible.
N’oubliez pas : la loi de la Providence n’est pas « magique », c’est une respiration, une correspondance avec la Création, et votre FOI est la clé.
On peut lire dans Saint Mathieu au sujet des aveugles qui venaient à Jésus: « Alors il leur toucha les yeux, en disant: Qu’il vous soit fait selon votre foi. Et leurs yeux s’ouvrirent. »
Une phrase pour moi résume tous les discours sur le sujet, pas besoin d’ouvrages entiers !
« Allonge-toi dans les bras de la Providence. Tu ne manquera de rien. »

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Très beau texte et plein de bon sens « paysan » ! La providence, la foi, la liberté, le bien-être intérieur, sont les maillons d’une même chaîne. Celle qui entraîne le plaisir de vivre, même dans les pires galères. Et un jour, il fera beau ! Mieux, avec cette forme de pensée, il fait déjà beau !
Amitiés
Beau résumé ! Merci Pascal pour ce bon commentaire. Je suis désolé de ne pas avoir trop suivi votre phénoménal projet ces derniers temps ;(
J’espère que tout prend forme comme vous le souhaitez 😉
Bonsoir Eric
Toujours un grand plaisir à vous lire …
Bien cordialement
Jacques
Merci. C’est partagé 🙂
Wow… Eric…
1000 merci pour cet article, qui résonne en moi particulièrement.
Je dois prendre le temps de ré-intégrer ces évidences, de les assimiler à nouveaux, et de les faire vibrer au fond de moi, en chacune de mes cellules, à chaque instant, du réveil au réveil, dans la joie d’être entier, vivant et… pas complètement lobotomisé..!!!
Vive la Vie, assurément
Arnaud
« … à chaque instant, du réveil au réveil, dans la joie d’être entier, vivant et… pas complètement lobotomisé..!!!
Vive la Vie, assurément ». OUI ! C’est bien ça Arnaud. J’aurais pu écrire ces mêmes mots 😉 Merci à toi d’accueillir ainsi ma petite prose. Je te souhaite toutes les meilleures choses possibles, l’ami. Au plaisir !