Connaissez-vous Amaroli ?

 

 

Dans cette période-charnière pour moi, et étant dans l’impossibilité temporaire de faire mon jardin, je mets à profit ce temps pour m’intéresser à une foule de sujets passionnants et connexes ô combien, à la thématique première de mon blog. L’émancipation spirituelle et intellectuelle étant la racine de toute réelle émancipation physique de la Matrice.

Ainsi, j’ai testé tout l’été, et jusqu’à ce mois de décembre, une forme de thérapie millénaire, en particulier en Asie, et que l’on redécouvre de plus en plus chez nous actuellement sous le nom d’Amaroli.

Et là, je vais m’adresser seulement aux esprits ouverts (Même si je sais bien que c’est le plus souvent le cas ici, chers lecteurs, ahaha !)

Donc : Amaroli (Dérivé du Sanskrit: Immortalité) est aussi de plus en plus connu chez nous sous le terme d’urinothérapie. En effet l’urine ne serait pas à considérer de la façon simpliste habituelle comme un résidu inutile éliminé par le corps. La chose est en réalité beaucoup plus complexe.

Je ne peux ici descendre dans une foule de détails et souhaite simplement vous mettre la puce à l’oreille. Si le sujet vous intéresse, je laisse ci-dessous la référence d’un petit ouvrage que vous trouverez pour quelques euros d’occasion sur Amazon ou ailleurs. C’est d’ailleurs avec celui-ci que j’ai commencé à me questionner sur le sujet. Mais continuons…

Bien que l’urine ait été considérée comme utile à des fins thérapeutiques dans plusieurs systèmes traditionnels et mentionnée dans certains textes médicaux, la thérapie par l’urine en tant que système de médecine alternative a été popularisée par le naturopathe britannique John W. Armstrong au début du XXe siècle.

Armstrong s’est inspiré de la pratique de sa famille consistant à utiliser l’urine pour traiter les piqûres d’insectes et les maux de dents. À partir de 1918, Armstrong, ayant travaillé le sujet (médecines traditionnelles asiatiques) a prescrit des régimes de thérapie par l’urine à plusieurs milliers de patients. En 1944, il a publié « The Water of Life: A treatise on urine therapy », qui est devenu un document fondateur dans ce domaine.

Le livre d’Armstrong s’est largement vendu et a inspiré en Inde le réformateur social et disciple de Gandhi, Raojibhai Manibhai Patel.

Les ouvrages en provenance des Indes font souvent référence au Shivambu Kalpa, un traité sur la valeur pharmaceutique de l’urine, comme source de la pratique en Orient. Y sont mises en avant les propriétés et les utilisations de l’urine dans des textes yogiques tels que le Vayavahara Sutra de Bhadrabahu et le Hatha Yoga Pradapika de Svatmarama.

Des textes ayurvédiques tels que le Sushruta Samhita, le Bhava Prakasha et le Harit mentionnent également abondamment cette thérapie. Cependant, selon l’anthropologue médical Joseph Atler, les pratiques de Shivambu (boire sa propre urine) et d’Amaroli recommandées par les praticiens indiens modernes sont plus proches de celles proposées par Armstrong que de celles de l’Ayurveda ou du Yoga traditionnel.

La thérapie urinaire a également été combinée à d’autres formes de médecine alternative, en particulier le jeûne.

Elle était aussi connue et utilisée par les dentistes romains de l’Antiquité pour blanchir les dents.

En Europe, l’usage de l’urine était connue au Moyen-Age.

 

 

Une description exhaustive de la composition de l’urine humaine avait été commandée pour la NASA en 1971:

 L’urine est une solution aqueuse contenant plus de 95 % d’eau. Les autres constituants sont, par ordre de concentration décroissante : Urée 9,3 g/Litre, Chlorure 1,87 g/Litre, Sodium 1,17 g/Litre, Potassium 0,750 g/Litre, Créatinine 0,670 g/Litre et autres ions dissous, ainsi que de nombreux composés organiques et inorganiques.

En Chine, il existe une association de thérapie urinaire qui revendique des milliers de membres.

Ceci étant posé en guise d’introduction, vous trouverez dans le petit ouvrage ci-dessous nombre de témoignages de guérison suite à la pratique régulière d’Amaroli.

Je comprends parfaitement que le sujet puisse choquer, ce qui était mon cas encore il n’y a pas longtemps !

Cependant, je vais vous raconter à présent ce qui m’a décidé à franchir le pas… et à essayer.

Je vais donc entrer en Févier prochain dans ma soixante-dixième année. Je pratique une alimentation à base de produits non transformés par l’industrie agro-alimentaire. Tous les aliments transformés par cette industrie de mort étant par définition à mon sens, impropres à conserver un être humain en santé sur le long terme et même souvent sur le moyen terme !

Pasteurisation, séchage, déchiquetage, malaxage, ajout de foules de produits chimiques incongrus, ionisation radioactive, stockage de longue durée en entrepôts, etc, etc …  (tout cela bien entendu pour les besoins du commerce et non de la santé humaine !)

J’ai donc écarté définitivement depuis de très nombreuses années ce type de produits générateurs de maladie. De plus ma dominante alimentaire est largement à base de végétaux (sauvages, du jardin, ou issus de petites productions locales, « bio » de préférence, bien que je déteste ce terme idiot, qui devrait tout simplement être remplacé par naturel !)

Je mange un peu de viande, à la façon traditionnelle, c’est-à-dire le Dimanche la plupart du temps, des oeufs (de nos poules ou issus de bonne provenance), un peu de laitage (au lait cru uniquement, la pasteurisation de ceux-ci les rendant complètement indigestes puisque privés de leur bactéries bienfaisantes). Pas de sucre, du miel avec parcimonie. Des céréales de bonne provenance également, et bien sûr du vin, ce sang de la terre, cet elixir !

Grâce à ce « régime » (mot pour moi assez dénué de sens ou que je pourrais appeler éventuellement « régime traditionnel » ou mieux « régime paysan »), je ne connais pas la maladie.

Je n’ai pas de « médecin traitant », et ne consomme aucun « médicament ».

Je ne coûte rien à la « Sécurité Sociale ».

 

 

Le travail au grand air (jardin, bois de chauffage, entretien des terres et du matériel, etc) me maintient en parfaite forme, pas besoin de « salle de gym » ou autres lieux si laids et coupés de la nature. Au sujet de la nature, le spectacle de celle-ci, en toutes saisons, me comble de bonheur et d’émerveillement.

Sa force est la même que celle qui coule dans mes veines, sa lumière est la même que celle qui brille en mon âme. Sa Beauté absolue fait taire nos bavardages ineptes et fatigants. Son contact me donne un infini sentiment de paix et d’être à la place qui est la mienne, voulue par le Créateur.

Les peuples traditionnels, partout sur la terre, ont vécu de cette façon sans connaitre la plupart des maladies qui affligent « l’homme moderne ».

Du côté de la santé, tout va donc bien pour moi, sauf que très récemment….. des espèces de migraines récurrentes se sont accrues depuis, à la louche, le printemps dernier. Au point de devenir presque quotidiennes avant l’été. Je n’ai pas trouvé d’explications valables à ce phénomène pénible, engendrant une douleur sourde et continuelle tout au long de la journée. En changeant des paramètres alimentaires, et observant les effets ainsi produits ou les absences d’effets, je n’ai trouvé aucune solution vraiment pertinente…. autre que l’Aspirine !

Et là l’effet est rapide. En 10 minutes environ la douleur s’estompe et on respire ! Merci à l’acide acétylsalicylique. 

Par contre, je ne souhaitais pas en rester là, bien évidemment, et me revint alors en mémoire quelques lectures anciennes sur Amaroli. C’était donc le moment opportun de tester cette pratique qui m’avait toujours paru jusqu’alors rebutante et fantaisiste. Je me remis donc à la lecture du petit livret dont je fais mention ici et, bluffé par les témoignages cités, je me décide à tenter le coup.

 De façon à vaincre cette répulsion, je dois dire que j’ai utilisé un moyen que je peux conseiller à ceux qui serait dans l’hésitation à franchir le pas. Mais j’y reviendrai plus loin. Pour l’instant ce dont je souhaitais vous faire part ici est que cela a tout de suite fonctionné pour moi ! 

Et c’est tout ce qui compte après tout. Je ne comprends nullement les tenants et aboutissants du phénomène. Je n’ai pas d’explication scientifique.

Je témoigne simplement : Ces insupportables migraines ont cessé comme par enchantement ! Merci Amaroli.

Fort de ce résultat quasi immédiat, j’ai poursuivi « la cure » tout l’été pour mon plus grand bien-être. Arrivé en octobre, et de retour en France, j’en ai eu un peu assez de ce rituel matinal et j’ai arrêté l’expérience, n’ayant plus aucune migraine depuis le début de l’essai.

Il a suffi de quelques semaines pour que celles-ci resurgissent, avec cependant une périodicité bien plus espacée. J’ai donc repris Amaroli avec le même résultat « miraculeux » que la première fois : Plus de migraines.

Il est temps que je vous indique à présent le stratagème utilisé pour vaincre la répulsion inévitable du début. L’urine la plus puissante en terme d’efficacité étant donc celle du matin, je la puise dans un petit verre dédié à cet usage. Je laisse ensuite ce verre dans un endroit frais jusqu’à la fin de matinée (pour l’apéro !). Ainsi refroidie, je la complète dans le verre avec un peu de jus de pommes bien frais lui aussi. C’est tout bête, mais je vous assure que vous avez la sensation de boire un simple jus de pommes ! Aucun goût désagréable, aucune sensation autre que de boire un bête verre de jus de pommes ! Amaroli, c’est tout du bon !!

Voila … En réduisant peu à peu le jus de pommes, j’arrive presque aujourd’hui à m’en passer. Rien de vraiment désagréable si ce n’est dans nos schémas mentaux.

Je vous fais part ici de ma simple expérience et ceci n’est évidemment pas un « conseil médical ». Vous êtes grands et responsables de vos actes. Si vous voulez en savoir plus, voire tenter l’expérience, le petit ouvrage ci-dessous vous donnera quelques bases comme il l’a fait pour moi.

 

Je vous souhaite de bonnes investigations. Vos retours d’expérience sont toujours précieux et appréciés.

 

 

 

 

 

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