Le déclin de l’Occident est-il inéluctable ?
“Nous relèverons-nous de cette débilocratie et de sa bêtise rugissante ??”
Vivre à la campagne c’est en tout premier lieu avoir choisi de pouvoir consulter en permanence la grande boussole de la nature. A la différence des folies, délires et extravagances humaines, cette boussole de la nature se comporte tout comme la boussole magnétique qui nous indique depuis toujours que le Nord est au Nord et le Sud au Sud.
La loi de causes à effets (le karma des Orientaux) s’applique inexorablement dans la nature. Chaque acte engendre des conséquences. Or”grâce” aux média téléguidés, les foules sont dans leur grande majorité comme éjectées de leurs propres vies et dé-responsabilisées de leurs actes:
Les zélites savent ce qui est bon pour nous: Destruction des valeurs traditionnelles, nourriture industrielle ultra-toxique à long terme, vaXXXins détruisant ce qui pourrait vous rester d’immunité, mode de vie agité, insensé, inquiet, etc…
On nous donne des hochets (consommation, réchauffement climatique, théatre “politique” où toutes les marionnettes sont accrochées au même fil, sous-culture débile, etc) pour nous distraire des véritables enjeux, qui ne sont autres que nos propres vies, nos propres libertés dont cette Matrice arrogante ne cesse de nous déposséder davantage chaque les jours…
Nous devons donc revenir à la simplicité de vision que nous dispense la nature et la cultiver, si nous voulons nous émanciper de ces prédateurs psychiques et de leur enfermement programmé.
C’est la base des bases. Sans cela, nous restons sous perfusion de leur sérum de dégénérescence abject.
En renouant avec une vision plus simple par la contemplation de la nature par contre, nous affinons notre perception. Nous devenons ainsi accessible aux symboles.
Car c’est le symbole qui nous livre les secrets.
En cette période de Noël, symbolique s’il en est, je vous souhaite de faire de celle-ci une célébration de la simplicité et de la Lumière.
C’est d’ailleurs tout le symbolisme de la crèche.
Ce minuscule enfant, vient au monde au coeur de la nuit de Noël, entre son père et sa mère dans la paille d’une étable. Seul un boeuf et un âne le réchauffent de leur souffle tiède.
C’est parce que ce petit d’homme ne possède rien, n’est rien, ne prétend à rien qu’il contient ce qu’il a de plus grand, Dieu.
Le plus petit est en réalité le plus grand.
Et vous n’avez nullement besoin d’être croyant pour laisser ce symbole envahir votre coeur.
Oubliez tout le reste car l’Essentiel est là !
Et c’est là où je souhaitais en arriver dans cet article. C’est sur cet Essentiel que se sont bâties nos civilisations, sur cet Essentiel, qui est la base de notre culture classique, pas sur les diableries d’Hanouna, ni les agences de com, ni les Mac-Donald !
Sans revenir à Lui, nous serons balayés. Point final.
C’est donc dans le même esprit que je souhaitais partager avec vous les propos de la vidéo ci-dessous. Ce sont les mots d’un homme dont la simplicité n’a d’égale que la culture. Je ne parle pas de culture académique ou ennuyeuse. Suivant ses propres mots, il s’agit de la “sagesse des grands-mères”, celle qui appréhende le monde par le coeur, par l’instinct…
Je vous souhaite de prendre le temps de l’écouter.
Beau Noël à vous tous !
Slobodan Despot est un éditeur et écrivain suisse d’origine serbe. Il est le cofondateur et le directeur de l’Antipresse et des éditions Xenia en Suisse. Il a publié deux romans (Le Miel et Le Rayon bleu) chez Gallimard.
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